Ces derniers mois il m’est arrivé deux histoires d’agressions sexuelles, et comme je suis une connasse de féministe et que je suis persuadée que le silence est notre pire ennemi, je me motive à écrire pour les raconter, pour qu’on puisse en parler, ou pas, pour savoir, pour ne pas culpabiliser, pour que ça se reproduise plus.
Ce texte a été écrit en deux temps, une première fois deux mois après la deuxième histoire, juste à destination de quelques personnes, et dans un second temps six mois après, à destination plus « publique ».
Anarchiste et violeur ? C’est pas censé être antinommique ?
Ce soir je suis contente, je vais à un concert chouette dans un bar, y’aura des potes, on va bien s’amuser.
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