PASTICHE

PASTICHE tente d´entreprendre une réflexion aussi critique que concise concernant le milieu militant, autonome et libertaire. C´est dans les entrailles de la radicalité présomptueuse que se sont figés un certain nombre de ces constats. Au vu de la concurence réactionnaire et confusionniste, au vu du peu d´efficacité que nos survivances s´emploient à reléguer aux justifications toujours commodes, au vu du nombre d´autocritiques confinées au rôle de décorations plus hypocrites que concrètes. PASTICHE tente une articulation entre vécu, théories et anecdotes historiques ; surement trop didactique, trop stylisé, schématique ou sommaire, PASTICHE est un outil critique uniquement voué à son propre dépassement.

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TURN OFF PLEASE ! « Distro silencieuse non-profit »

TURN OFF PLEASE !

« Distro silencieuse non-profit »

books, fanzines, poems, illustrations, writings, brochures…!

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« Le temps viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd’hui. » (august spies)

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Si vous souhaitez que les bacs de TURN OFF PLEASE! se déplacent pour un concert, un événement, une manifestation… ou autres ??!!

Si vous souhaitez que vos ouvrages intègrent les bacs…

Contact: lemaitrelaroche@riseup.net

TURN OFF PLEASE! sera présent sur l’ensemble des concerts deLIKE PIGS ON EMBERS .

peace.

TURN OFF PLEASE!

Du Féminisme illustré

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1974 «Ce n’est pas le mouvement révolutionnaire masculin qui a absorbé le féminin, c’est la société capitaliste qui les a absorbés tous les deux. Les mouvements antérieurs n’ont pas échoué parce qu’ils ont négligé les femmes. Ils ont négligé les femmes – et le reste – parce qu’ils ont échoué. Trompées, les femmes n’ont pas été les seules. Elles ont servi de masse de man- œuvre à autre chose que leur émancipation, exactement comme le prolétariat dans son ensemble. Et c’est ce qui se reproduira, pour les unes et les autres, si les prolétaires n’attaquent pas les bases de la société dans les prochains mouvements. »

Constance Chatterley, « Le féminisme illustré ou Le Complexe de Diane », Le Fléau Social, n° 5-6, 1974

2015 « La notion de genre, c’est ce qui aide la société, c’est- à-dire un peu tout le monde, du journaliste à la prof de collège en passant par la mère de famille, à penser les rapports homme/femme quand ils cessent d’apparaître naturels, fixes, allant plus ou moins de soi. Avant on parlait de « nature » pour se résigner à l’iné- galité des sexes, maintenant on parle de « genre » pour croire qu’on peut la ré- duire. Finalement, ce que dit le concept de genre, c’est qu’il n’y a pas de nature humaine, donc pas de nature masculine ni féminine. Franchement, je le savais déjà, et vous aussi. »

«Quarante ans plus tard… Conversation avec Constance »

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