Ce qui a avant tout attiré notre attention sur la “famille des Colibris” et son fondateur Pierre Rabhi, c’est le caractère réactionnaire de leur discours et les liens entretenus avec l’extrême droite (voir liens en bas de page).
S’ils.elles prétendent promouvoir une écologie alternative, progressiste, dans le cadre d’un mouvement démocratique, les faits nous montrent que ce mouvement et ceux qui lui sont liés sont organisés de manière peu démocratique et qu’ils.elles fonctionnent comme une véritable entreprise capitaliste.
Nous avons pris le parti, dans cet article, de ne relayer que des documents et publications émanant directement du mouvement des Colibris, de ses sympathisant.e.s ou de son « président d’honneur », de les analyser et de nous attacher à ce qui semblent être de profondes contradictions entre le discours et les pratiques.
lire sur pavé brulant
ça ne fonctionne pas comme une entreprise capitaliste sinon chaque participant aurait une voix au prorata du capital que la personne détient dans l’entreprise Colibris.
Par contre, ça fonctionne comme une secte.