Mobilisation nationale contre les expulsions / Mobilisation devant les CRA (centres de rétention)

 

1920528_10205136664719516_5638026245432653025_n

 

A CALAIS : RDV 14h au centre de rétention administrative de Coquelles (Calais)
informationretention@gmail.com
A RENNES : RDV à 15 h devant le CRA de Rennes Saint Jacques pour un parloir sauvage
A TOULOUSE : RDV à 15h devant le CRA de Cornebarrieu
A BORDEAUX : RDV à 15h Rassemblement contre toutes les expulsions
http://gironde.demosphere.eu/rv/4106
A SAINTES : Conférence débat « Ouverture des frontières et citoyenneté universelle : utopie ou geste de solidarité ? » à 19h30
A GRENOBLE : RDV à 14h Place de l’opéra
http://grenoble.indymedia.org/2014-10-14-Greve-et-manifestation-regionale
A PALAISEAU : RDV à 11h devant le CRA pour un cercle de silence organisé par l’Observatoire citoyen du Cra de Palaiseau

Les centres de rétention sont l’outil principal de l’Etat dans sa politique de harcèlement, de déshumanisation et d’expulsion des étranger-es jugé-es indésirables.
Celui de Coquelles situé derrière le commissariat de la PAF, construit à la fermeture du centre de Sangatte, à coté de la Cité Europe, (énorme complexe commercial où tout est fait pour attirer touristes anglais et consommateurs), est une prison spéciale pour étranger-es qui comporte dans son enceinte un tribunal d’exception, annexe du TGI de Boulogne, où est décidé de manière expéditive et sans témoins, le sort de vies humaines dont le seul crime est d’être nées ailleurs.

En 2012, 44 000 personnes ont été détenues par l’État français dans des Centres de Rétention Administrative (CRA) répartis dans tout le pays. Cela veut dire que des milliers de personnes, dont des familles avec des mineurs, sont enfermées et entassées dans des lieux de « privation de liberté ».
Depuis des années, les associations d’aide aux migrant-es alertent l’opinion publique quant aux nombreuses atteintes à la dignité humaine et aux violences physiques et morales qui touchent les personnes enfermées dans les CRA et les zones d’attentes situées dans les aéroports, (le dernier rapport de Open Access Now, relayé par la CIMADE, « la face cachée des camps d’étranger-es en Europe » est éloquent à ce propos). Ils sont souvent éloignées de force du territoire français après leur détention (56 000 éloignements en 2012 ). Cette violence institutionnelle entraîne des suicides et d’autres actes désespérés comme des grèves de la faim, des mutilations, mais aussi des actions de protestation de la part des enfermé-es qui se révoltent contre leurs conditions de vie et les maltraitances policières subies dans les CRA. Plus que l’expulsion, certain-es risquent également la mort : le 21 août dernier, c’est un retenu du CRA de Vincennes qui est tué par la police pendant son transfert à l’aéroport.

Nous rappelons que les migrant-es sont des personnes fuyant des conditions d’existence désastreuses ou qui tout simplement cherchent à vivre une autre vie . Nous rappelons qu’au 19ème siècle des millions d’européen-es ont immigré aux quatre coins du monde, fuyant la misère du « vieux continent ». Nous rappelons que la richesse économique des pays occidentaux est aussi basée sur le pillage et l’exploitation des ressources et des populations dont sont originaires les migrant-es.

Les lieux d’enfermement, dont les CRA, servent le système capitaliste dans ses besoins de gestion des populations. Ils font partis du business sécuritaire financé par l’Europe et soutenue par des entreprises nationales/multinationales qui en tirent un profit pharamineux. Les CRA, comme les autres lieux d’enfermement, sont des conséquences de la barbarie étatique et capitaliste (la militarisation des frontières a entraîné la mort de 3 500 personnes ces trois dernières années selon Amnesty international).

LIBERTE DE CIRCULATION ET D’INSTALLATION POUR TOUTES ET TOUS !

OUVRONS LES FRONTIERES !

FERMETURE DES CENTRES DE RETENTION !

REFUSONS LES EXPULSIONS !

[LYON] Répression de la manif anti répression

Les manifestant·e·s ont été encerclé·e·s sur la place du pont et empêché·e·s d’aller à Bellecour ou ailleurs, la police encercle le quartier !

Une demi-heure plus tard les flics chargent !! Les manifestant·e·s se dispersent et se retrouvent place Saint-Louis pour repartir en manifestation sauvage.
Maj 21h08 : une quinzaine de personne ont été arrêtées et emmenées en garde à vue.
Màj 22h00 : ajout de photos de la manifestation
Màj 22h50 : les 16 personnes en garde à vue vont y passer la nuit. Motif : rassemblement illégal + dégradation de biens publics + incendie volontaire

La police s’est mobilisée en force cet après-midi en prévision du rassemblement contre les violences policières. On compte déjà une quinzaine de car de CRS garés à différents endroits du quartier.

A 18h00 : Entre 80 et 100 personnes présentent au rassemblement contre les violences policières place du Pont. Forte présence policière cet après-midi en prévision : une quinzaine de car de CRS garés à différents endroits du quartier.
Les manifestant·e·s ont étés encerclé·e·s sur la place et empêché·e·s d’aller à Bellecour ou ailleurs, la police encercle le quartier !

Une demi heure plus tard les flics chargent !! Les manifestants se dispersent et se retrouvent place Saint-Louis pour repartir en manifestation sauvage.
Manif sauvage réprimée et bloquée a Jean-Jaurés !
Des arrestations se font dans les ruelles alentours (au moins une dizaine d’arrestations…..)
Des manifestant ont été encerclés à l’angle de la rue Montesquieu , environ une quinzaine qui se font embarquer dans un bus de flics après avoir subi un contrôle…

P.-S.

N’hésiter pas à envoyer des complément d’info et des photos à contact@rebellyon.info

Si vous avez des infos sur les arrestations contacté la caisse de solidarité :
caissedesolidarite@riseup.net
06.43.08.50.327

lu sur http://rebellyon.info/Repression-de-la-manif-anti-repression.html

Un communiqué de la ZAD de Rouen.

Alors que les cabanes se multipliaient et que les occupants se faisaient plus nombreux, qu’hier les lycéens nous retrouvaient sur la place occupée,  Yvon Robert et la mairie socialiste ont décidé d’expulser violemment la zad de Rouen.
4 h00 cette nuit, une quinzaine de fourgons de CRS débarquent. Après des sommations inaudibles et expédiées, les CRS ont matraqué et gazé pour nous faire quitter les lieux et nous tenir à distance. L’un des nôtres, perché dans un arbre et installé sur une plateforme a alors été délogé et emmené. Pas de nouvelle pour l’instant.

L’ordre socialiste est revenu sur la place.

Nous n’abandonnons pas. Pour Rémi et pour toutes les ZAD.

<p><a href= »http://vimeo.com/111186474″>Expulsion de l’occupation de la place du palais de justice</a> from <a href= »http://vimeo.com/user33856879″>les ogres</a> on <a href= »https://vimeo.com »>Vimeo</a&gt;.</p>

Communiqué de presse suite à la mort de Rémy – par la coordination du 25 octobre

Rémi, 21 ans, est mort dans la nuit de samedi à dimanche à Sivens. Selon plusieurs témoignages convergents, il s’est écroulé à quelques mètres du camp retranché de la police, atteint par un tir au niveau de l’épaule, avant d’être immédiatement ramassé par la police. S’agissait-il d’un flash-ball ou, plus vraisemblablement, d’une grenade de désencerclement projetée à tir tendu?

Seule la police le sait qui, jusqu’à présent, occulte la vérité de diverses manières. Elle prétend qu’il n’y a pas eu de blessé-e-s parmi les opposants alors que l’équipe médicale de la coordination témoigne qu’il y en a eu de nombreux le samedi. La police affirme avoir «découvert un corps» dans la nuit en omettant de mentionner la violence des affrontements à ce moment-là (la préfecture a affirmé que les affrontements se seraient arrêtés vers 21h et omis de dire qu’ils ont repris de plus belle vers minuit). Elle prétend n’avoir pu venir sur place le dimanche pour lancer l’enquête (une fois le crime accompli, la police a brusquement quitté les lieux sans, jusqu’à ce jour, tenté d’y revenir).

Nous exigeons que toute la lumière soit faite au plus vite sur cet homicide, par respect pour Rémi, sa famille et ses ami-e-s. Nous souhaitons aussi que les responsables de ce drame soient poursuivis au plus tôt. Et pour nous, le responsable n’est pas seulement le robocop matricule xxx qui a appuyé sur la gâchette samedi soir –et encore moins Rémi. Il s’agit de savoir qui a construit cette situation de violence qui ne pouvait que tourner au drame.

Que faisaient donc les forces de l’ordre samedi au Testet, alors que le préfet s’était engagé à ne pas en poster pendant ce week-end, vu les milliers de militants attendus (7000)? Il n’y avait aucun ouvrier à protéger, ni aucune machine à défendre: la seule qui n’avait pas été évacuée le vendredi avait été brûlée le soir même. Pourquoi donc avoir posté 250 gendarmes mobiles et CRS armés de grenades et de flash-blalls pour garder un petit carré de terre entouré d’un fossé large de plusieurs mètres? S’agissait-il de protéger les précieux grillages? Ou bien de générer de la tension et de faire de la provocation? Les autorités savaient très bien ce qui allait arriver en laissant un engin au Testet le vendredi et en y postant une armada le samedi.

A l’heure actuelle où l’inanité du projet de barrage au Testet apparaît au grand jour, à l’heure où tous les mensonges et conflits d’intérêts dénoncés par les opposants depuis des mois ont été confirmés par les investigations des journalistes (Le Monde 24/10 et le Figaro, 26/10) et le rapport des experts ministériels rendu public aujourd’hui, le président du Conseil général et le Préfet du Tarn n’ont plus aucun argument en faveur du barrage si ce n’est de monter en épingle la prétendue violence des opposants. Ils avaient donc besoin de violence samedi. Ils l’ont provoquée. Elle a coûté la vie à Rémi.

Nous sommes sous le choc et adressons nos plus sincères condoléances à ses proches.

La coordination du 25 octobre
PS: Nous exigeons d’ores et déjà qu’une seconde autopsie indépendante soit effectuée et avertissons la préfecture que si le corps n’était pas conservé de sorte à ce que cette contre-expertise soit possible, ce serait une preuve de plus que les autorités veulent cacher la vérité. Nous dénonçons les tentatives de salir la mémoire de Rémi en prétendant que les causes de sa mort seraient liées à son «alcoolémie» ou à sa «violence».

PLUS D’INFOS SUR TANTQUILYAURADESBOUILLES ET ZAD.NADIR.ORG

Expulsion du Transfo : rassemblement ce soir à 18h à Gallieni

JPEG - 479.6 ko
L’expulsion du Transfo à 7h le 23 octobre 2014, Bagnolet

Ce matin à 6 heure, début de l’expulsion du Transfo. Aucune expulsion ne doit se passer tranquillement : rassemblement ce soir à 18h à Gallieni !

  • 06h00 : Les flics entrent dans l’habitation en arrachant une des fenêtres à la pelleteuse !
  • 6h10 : Les habitants sont réunis dans deux pièces et les flics tentent de procéder à des contrôles d’identités.
  • 6h20 : 200 flics au moins en tout. Une partie sont dedans et font le tour des bâtiments.
  • 7h00 : Les flics veulent embarquer toutes les personnes sans papier. Les habitant-es refusent de les laisser partir et demandent à ce que tous ou personne ne soit arrêté.
  • 7h20  : Les habitant-es se font tous embarquer par pour refus de présenter leurs papiers. Une vingtaine de personnes est présente en soutien devant.
  • 7h40  : Pas mal de personnes sont arrivées en soutien petit à petit. Il y a environ 60 personnes devant.
  • 7h45  : Les arrêté-es se font embarquer en fourgon escorté-es d’une dizaine de véhicule de police.
  • 8h15  : Les habitant-es sont aux commissariat de Gambetta pour contrôle d’identité.
  • 8h45  : L’huissier refuse de faire rentrer qui que ce soit pour récupérer des affaires. Le dispositif policier commence à bouger.
  • 9h00  : L’expulsion est terminée. Les soutiens se retrouvent devant le commissariat de Gambetta.
  • 10h00  : Les copains sont sortis du commico.

Un rassemblement est appelé ce soir à 18h à Gallieni.

JPEG - 675.6 ko
Fresque visible par tous à l’entrée du Transfo

Sur une parcelle du Transfo, un gros projet immobilier est en cours : plusieurs hautes tours qui vont changer la face du quartier, sans concertation avec les habitants.
Les 3 propriétaires du lieu sont E.D.F. et 2 de ses filiales ; les bâtiments étaient vides depuis 2 ans pour certains et une dizaine d’années pour d’autres.
Un projet collectif s’était monté : outre un bâtiment dédié à l’habitation, 3 bâtiments hébergeaient des activités : projections de films, cantines populaires, soirées de soutien à des luttes sociales, récup’ et distribution de légumes, ateliers, bibliothèque, réunions, infokiosques…
Malgré une procédure longue, la justice a finalement précipité les choses et décidé d’une expulsion sans délai, sans examiner le fond de l’affaire.
C’est loin d’être le seul lieu dans cette situation, à commencer par nos voisins du collectif des Baras (lesbaras[at]squat.net).
Les différents rouages du pouvoir (proprio, justice, police, mairie, promoteurs) s’accordent parfaitement lorsqu’il s’agit de mettre au pas les pauvres, les révolté-e-s, les illégales-illégaux, les sans-papiers, les inadapté-e-s…
Hiver comme été, de droite ou de gauche, l’État expulse.

JPEG - 295.9 ko
Défense du Transfo

Aucune expulsion ne se passera tranquillement. De nouveaux lieux ouvriront !!

Nous nous battrons tant que le capitalisme et l’État existeront, contre toutes les formes de domination !

Paix aux chaumières, Guerre au palais !

Rassemblement ce soir 18h Gallieni.

Le Transfo
57 avenue de la république
93170 Bagnolet

JPEG - 556.9 ko
L’expulsion du Transfo à 7h le 23 octobre 2014, Bagnolet

P.-S.

Pour se faire une idée de ce qu’a pu représenter ce squat, voir cet article récent surl’expérience du collectif au transfo, ou cet autre article d’entretien, un peu plus ancien : Le Transfo : un espace autogéré, éphémère et sans compromis !.

Existrans 2014 : marche des trans, des intersexes et de leurEs soutiens

 

 

Existrans, la marche des trans, des intersexes et des personnes qui les soutiennent aura lieu ce samedi 18 octobre 2014. Elle partira de Stalingrad à 14h pour défendre et revendiquer les droits fondamentaux encore refusés aux trans et aux intersexes.

arton1794-52005-93d8c

 

Depuis maintenant 18 ans, les personnes trans, intersexes manifestent chaque fin d’année, accompagnéEs des personnes qui les soutiennent, pour défendre leur droit à une existence digne et revendiquer les droits fondamentaux dont illes sont privéEs.

Toutes les infos pour cette année sont sur le site de l’organisation

Peu d’expressions anarchistes sur le sujet pour l’instant, malheureusement. On peut noter [le tract fédéral de la CGA >http://c-g-a.org/content/existrans-face-la-transphobie-ni-oubli-ni-pardon-0].

GRANDE MANIFESTATION POUR QUE LA CANTINE DES PYRÉNÉES REPRENNE SES ACTIVITÉS


Rendez vous samedi 4 octobre à 14h devant la Cantine 331 rue des Pyrénées

Nous avons besoin de la présence de toutes celles et de tous ceux qui soutiennent le projet. 

merci de faire tourner l’info un maximum, de partager et de réserver la date sur votre agenda !!

LA LUTTE CONTINUE, Nous ne laisserons pas le dernier mot à ceux qui nous exploitent, nous expulsent et nous méprisent !

PRINTFEST 2014 du 11 au 14 septembre au 6B

ATELIERS IMPRIMERIE FANZINES GRAVURE LINO SÉRIGRAPHIE FEMINISME PLAISIR

PRINTFEST C’EST QUOI ? >>>>

4 jours de création collective, d’échanges de savoirs, de rencontres et d’ateliers autour des objets imprimés à la main, photocopiés, reproduits, reliés, assemblés…

4 jours autour et avec des fanzines, des micro-éditions, des auto-productions de textes, d’images, de livres, de brochures poétiques et politiques…

4 jours pour s’approprier et s’autoriser, déployer nos capacités à diffuser nos désirs, nos plaisirs, nos luttes, nos idées et visions…

4 jours pour pratiquer, apprendre, découvrir des techniques de gravure sur lino, de sérigraphie, de reliure, de tampographie, de fanzinat, de pochoir, pour regarder des films, débattre, se connaître…

PRINTFEST, c’est l’occasion de pratiquer, explorer, découvrir, apprendre et réaliser des objets imaginés façonnés soi-même : fanzines, affiches, flyers, posters, livres, carnets, etc…

OÙ ? Au 6B, 6-10 Quai de Seine à Saint-Denis (93). Dans la salle d’expo au 1er étage

QUAND ? Du Jeudi 11 au dimanche 14 Septembre 2014, de 10h à 19h.

CONTACT ?    >>>     printfest@riseup.net

COMMENT ?  Le printfest est un événement DIY (Do It Yourself), ca veut dire qu’on crée un cadre pour faire et apprendre ensemble les un.e.s des autr.e.s, avec du matériel mis en commun à disposition de tout.e.s. Il n’y a pas de programme prédéfini, c’est ensemble qu’on décidera du déroulement des ateliers, du fonctionnement, etc… C’est un événement auto-géré, on le construit ensemble et auto-financé : une participation libre est demandée pour financer le matériel acheté et rembourser les frais engagés, chacun.e participe à la hauteur de ses moyens.

FÉMINISTE ?  Dans l’équipe du PRINTFEST on souhaite créer un espace où les minorités sexuelles, raciales, sociales et les meufs en général aussi n’auraient pas à subir les comportements oppressifs qu’on voit un peu partout se reproduire. Ça veut dire qu’on veille à notre vocabulaire, à nos façons de s’exprimer, qu’on cherche à ne pas reproduire de dominations sexistes, hétéronormatives, racistes, etc… Notre démarche s’inscrit dans un espace non-marchand. L’idée au coeur de PRINTFEST est aussi de donner à nos communautés (gouines, trans’, pédés, intersexes, bi-es, copines et copains qui en ont marre du patriarcat, queers, freaks, gender blenders, folles, butchs, personnes dont l’expression de genre est non-binaire, travailleur-euses du sexe, etc…) l’occasion de se réapproprier des moyens d’expression, de fabrication et de diffusion de nos cultures, nos luttes, nos questionnements, nos images, nos textes, nos vies, etc.
L‘événement soit ouvert à tou.te.s, tout en proposant aux participant.e.s d’être conscient.e.s et attentives à nos attitudes, comportements, propos…

printfest fly

PRINTFESTaffiche

CHECK theprintfest.noblogs.org

Paris 20e : solidarité de quartier, solidarité de classe – manifestation

Nous sommes plusieurs collectifs, associations et personnes qui militent, habitent ou travaillent dans le 20ème arrondissement. Nous développons au quotidien des actions de solidarité et nous nous organisons pour se réapproprier les biens et les espaces publics.
Manifestation samedi 31 mai 14h Belleville.

Nous sommes plusieurs collectifs, associations et personnes qui militent, habitent ou travaillent dans le 20ème arrondissement. Nous développons au quotidien des actions de solidarité et nous nous organisons pour se réapproprier les biens et les espaces publics.

Ce que nous faisons, vous l’avez peut-être déjà vu, ou vous en avez peut être entendu parler : une cantine populaire, un soutien aux mal-logés et aux sans-papiers rue des Pyrénées, une redistribution de nourriture et de vêtements à Ménilmontant, des luttes pour l’accès à l’avortement et aux droits des femmes devant l’hôpital Tenon, des concerts dans la rue pour l’accès à une culture populaire aux amandiers, de l’entraide scolaire sur des bases d’émancipation à Couronnes, de l’antiracisme de quartier, ou de l’autodéfense populaire un peu partout.

Notre objectif n’est pas de se limiter à faire de l’animation de quartier, mais de contribuer au quotidien à lutter contre le système capitaliste qui implique l’exploitation des travailleurs et des chômeurs, dans des conditions encore pire pour les femmes et les immigrés.

Nous organisons ce CONCERT/MANIFESTATION pour se rencontrer. La réappropriation de notre culture populaire au même titre que celle de la rue est un moyen pour parler de nos idées et échanger avec celles et ceux qui vivent et travaillent dans le quartier de tout ce qu’on pourrait faire ensemble. Dans cet esprit la manif ira à la rencontre de différent lieu de luttes passées et présentes

Occupation des logements vides ! Gratuité des soins ! Libre accès à la culture ! Réquisition de nourriture ! Transports gratuits !
Solidarité de quartier, solidarité de classe !

JPEG - 121.4 ko

Samedi 31 mai de 14h00 à 16h00 à Belleville

Premiers signataires : Do The Red ThingsLa Cantine des Pyrénées, Quartier Libre, Comités Syndicalistes Révolutionnaires, Les Mal-LogéEs RévoltéEs, Action Antifasciste Paris-Banlieue (AFA)