Un an après l’état d’urgence, la France et l’antiterrorisme
Manifestants interpellés: enquête sur les faux témoignages de vrais policiers
Après les nombreuses manifestations contre la loi Travail qui se sont tenues dans toute la France entre mars et septembre dernier, les tribunaux ont été largement sollicités. Certains fonctionnaires de police ont dû faire face à des manifestants organisés et violents, parfois munis de cocktails Molotov. Dans la plupart des cas, les prévenus sont accusés d’avoir lancé des projectiles sur les forces de l’ordre, de s’être rebellés lors de leur interpellation ou d’avoir commis un outrage.
Mais dans d’autres situations, des personnes interpellées lors de manifestations ont été accusées à tort de s’être rendues coupables de violences. BuzzFeed News s’est intéressé à une dizaine d’affaires dans lesquelles des vidéos révèlent que des policiers ont menti ou qu’ils ont en tout cas rédigé des PV qui ne correspondent pas à la réalité. Dans la majorité des cas, si le manifestant est relaxé, le fonctionnaire de police, lui, ne risque aucune sanction ni poursuite.
ARTICLE A LIRE EN INTÉGRALITÉ SUR BUZZFEED
REPLIK2PARIAS – Appelle-nous menace.
Concert de soutien à des arrêtés et inculpés du mouvement social contre la loi travail et son monde.
Grande fête de la Cantine Des Pyrénées ! 18 Novembre
Soirée de soutien au site Le Pressoir!
Concert pour les prisonniers du mouvement contre la loi travail
SOIRÉE DE SOUTIEN A LA CAISSE JURIDIQUE DE SOUTIEN A LA MAKHNO
CIZIF/CERNA/MEZIG TOUR
A L’ARRACHE Vol.4/MYSCIER BLODYA
lapin/ shaihulud
Rassemblement en hommage à Rémi Fraisse
Festival pour les 7 ans du TDB! 11, 12, 13 novembre 2016

Des collectifs de rappeuses mexicaines sensibilisent au féminisme et aux droits des femmes à travers le hip-hop
Dans le milieu du rap mexicain machiste et misogyne, des rappeuses s’organisent et se regroupent pour sensibiliser au féminisme et dénoncer les atteintes aux droits des femmes au Mexique comme dans toute l’Amérique Latine. En 2009, une quinzaine d’activistes féministes travaillant autour du hip-hop (rappeuses, artistes, écrivaines, militantes…) créent le collectif « Batallones Femeninos ». Elles dénoncent à travers leur art les violences socio-culturelles qui touchent les femmes au Mexique.
Pour les rappeuses, le rap est une « arme puissante » qui permet aux femmes qui prennent le micro, d’être écoutées et d’exprimer les problématiques que rencontrent leurs sœurs, leurs amies, leurs tantes, leur mère ou leurs voisines. Leurs textes évoquant parfois des sujets tabous comme les règles, ils suscitent parfois des réactions violentes de la part d’autres rappeurs ou parfois même, des censures lors de concerts. Dans la chanson « Hermanas de sangre », les rappeuses provoquent non sans humour en chantant : » Je menstrue quatre jours dans le mois et toi tu es bête toute l’année ! « .
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