Parce qu’en mai-juin 1968 la répression a causé 7 morts, et que depuis la police n’a toujours pas cessé d’assassiner les plus pauvres et celleux qui luttent…
Lausanne : expulsion et avenir de la bibliothèque féministe « La Molène »
La bibliothèque queer et féministe autogérée La Molène, localisée à Lausanne, rencontre des difficultés car son local va être détruit.
A savoir, aujourd’hui [mercredi 13 juin 2018] il est prévu une dernière ouverture de la biblio avant le nouvel endroit (qui n’a pas encore été trouvé…) de 16h à minuit ; en mixité choisie (voir sur l’affiche).
Ouverture spéciale sans livres mais avec possibilité de rendre les livres.Il s’agit de discuter du futur de la biblio ; et vous êtes invité.e.s à amener de la bouffe vegane.
« Nous venons d’apprendre que nous avons UNE DIZAINE DE JOURS pour libérer les lieux ( !!ultimatum le 18 juin!!), vider la bibliothèque, trouver un nouveau local et ainsi de suite…
Nous avons 7 appartements + tout l’espace biblio et les caves à vider et déménager !
C’est énorme… donc nous cherchons massivement du soutien :
– financier
– nouveau local pour la biblio (prêté, ou sous « contrat de confiance »)
– prêt de voiture/camion (edit: trouvé!)
– personnes ayant le permis de voiture disponibles pour conduire (edit: trouvé!)
– espace(s) de stockage (edit: trouvé!)
SVP, penser à nous ramener vos livres empruntés ou à les garder précieusement jusqu’à ce qu’on trouve un nouveau local…
***
Nouvel espace biblio recherché :
Nous aimerions vraiment que ce beau projet continue à vivre, que Lausanne ne perde pas son unique espace Queer et féministe proposant des ressources, qui n’est pas seulement une bibliothèque mais aussi un lieu de refuge, de rencontres et de soutien !
Avez-vous entendu parler d’un local ou d’un espace vide, à disposition, qui pourrait nous être prêté ? (région Lausannoise idéalement mais n’hésitez pas si vous entendez parler d’un lieu même si c’est ailleurs en suisse romande)
A faire tourner massivement !!
Force et courage,
merci d’avoir fait vivre la biblio et longue vie à la Molène ! »
Rassemblements nationaux de soutien à Maxime, qui a eu la main arrachée par une grenade à NDDL
Les mois d’avril et mai dernier, les expulsions sur les terres de la zad à Notre-Dame-Des-Landes signifiaient des milliers de gendarmes, de tirs tendus, et d’affrontements.
Mardi 22 mai, Maxime, un jeune de 21 ans étudiant à Lille, a eu la main littéralement arrachée par l’explosion d’une grenade, tirée par les forces de l’ordre. Appel à solidarité.
Peu importe qu’elle soit lacrymogène, instantanée, assourdissante, à effet de souffle, à effet psychologique, à effet combiné, modulaire, offensive ou de désencerclement.
Peu importe le nom donné à cette grenade : une grenade est une grenade. Continuer la lecture de « Rassemblements nationaux de soutien à Maxime, qui a eu la main arrachée par une grenade à NDDL »
Documentaire: Vincennes, l’université perdue
Nous vous proposons et conseillons de regarder l’excellent docu « vincennes, université perdue », en replay sur arte jusqu’au 20/07/2018. Réalisé par Virginie Linhart (fille de Robert, ancien militant de la gp et maître de conf’ en philo à Vincennes), les témoignages et images d’archives font directement écho aux luttes actuelles ( loi Ore, expulsion de la zad…) et donnent des idées pour les rendre plus offensives! Bref n’hésitez pas!
cliquer l’image pour accéder au docu
Paris : grande manifestation contre le projet de loi asile/immigration du 18 juin
Appel à manifester à Paris, Place de la République, le samedi 2 juin 2018 à 14h.
Le projet de loi appelé « Asile-Immigration » présenté par Gérard Collomb arrivera au Sénat ldébut juin pour être examiné en commission avant le débat en séance, la semaine du 18 juin. C’est l’une des dernières chances de mobilisation contre ce projet de loi dangereux.

Pour le retrait du projet de loi asile-immigration
Le projet de loi asile-immigration de Collomb et Macron a été voté à l’Assemblée nationale.
Pour être adopté il doit aussi être voté en juin par le Sénat.
Il faut imposer le retrait de cette loi raciste et liberticide qui légitime encore plus la chasse aux étrangerEs, les contrôles policiers, les mesures d’enfermement, y compris pour les enfants, et les idées du Front National.
Les collectifs de sans-papiers de la région parisienne appellent tout le mouvement social à manifester à leurs côtés le samedi 2 juin de la place de la République au Sénat.
– Liberté de circulation et d’installation
– Stop Dublin, ni rétention, ni expulsions
– Régularisation de touTEs les sans-papiers Continuer la lecture de « Paris : grande manifestation contre le projet de loi asile/immigration du 18 juin »
Déçès d’une jeune femme nigériane à la suite d’un contrôle de police
COMMUNIQUÉ DE PRESSE – « TOUS MIGRANTS »
Lundi 7 mai, aux alentours de 5h du matin, un groupe composé de trois personnes étrangères, dont deux hommes et une jeune femme, marchaient en suivant la nationale 94 en direction de Briançon. La jeune femme marchait difficilement du fait de douleurs aux jambes et était souvent aidée par les deux jeunes hommes. À la hauteur du hameau de La Vachette, 5 policiers dissimulés dans les fourrés ont surgis brusquement sur la route nationale en allumant des torches électriques et en criant « police, police ». Les 3 personnes étrangères se sont alors enfuies à travers champ en direction du village où elles se sont dispersées, poursuivies par les policiers. L’un des deux hommes est interpellé vers l’église. Les policiers sillonnent ensuite le village pendant plusieurs heures. La jeune femme ne donne plus aucune nouvelle d’elle depuis ce jour. En toutes hypothèses, les 5 policiers sont les dernières personnes à avoir vu vivante la jeune femme disparue. Mercredi 9 mai, le corps d’une jeune femme est retrouvée dans la Durance une dizaine de kilomètres plus en aval.
La jeune femme disparue depuis lundi 7 mai s’appelle Mathew BLESSING. Elle est âgée de 21 ans et de nationalité nigériane.
Les informations que nous avons recueillies font ressortir plusieurs éléments précis et circonstanciés qui pourraient relever des infractions suivantes :
Mise en danger délibéré de la vie d’autrui par le manquement à une obligation particulière de sécurité ou de prudence, en l’espèce en organisant de nuit une poursuite à l’encontre de personnes de nationalités étrangères dans une zone dangereuse. Faits prévus et réprimés par l’article 223-1 du Code Pénal.
Homicide involontaire par imprudence, négligence, ou manquement à une obligation de sécurité, en l’espèce en ayant conscience du danger de mort encouru par une chute dans la rivière, faits prévus et réprimés par l’article 221-6 du Code Pénal. Continuer la lecture de « Déçès d’une jeune femme nigériane à la suite d’un contrôle de police »
The Antifascists (2017) Documentary
ZAD de NDDL : Actions et appels à des rassemblements
MARDI 17 Avril
GUERANDE
Dans la logique de notre action de vendredi, nous appelons à venir semer (apporter des graines, des plants), (re)construire des cabanes :
demain, mardi 17 avril – 18 h –
terre-plein Guérande rond point de Villeneuve – accès et stationnement route de La Baule vers le golf –
Merci de diffuser au maximum.
solidarité ! Continuer la lecture de « ZAD de NDDL : Actions et appels à des rassemblements »
Release Party pour le nouvel album d’Ed Bazz&Sticky Snake « Optimisme » soutien à la CNT Interpo Brest
Documentaire : Conquérir notre autonomie
A voir : le documentaire de Guillaume Deloison, que l’on peut visionner en moins d’une heure en accéléré (si l’on est très pressé-e car il faut aller au boulot chercher les gosses faire à bouffer aller boire un verre prendre sa douche passer à la banque et envoyer un mail aux impôts puis filer en cours et rentrer se coucher pour être en forme à 6h30 demain matin). Bonne petite « vulgarisation » sur le capitalisme et les rapports de domination.
En complément, et pour celleux qui préfèrent la lecture au cinoche, l’auteur a réalisé une brochure qu’il est possible de lire et d’imprimer gratuitement. On souligne avec plaisir le caractère gratuit de ce qu’il a produit.
Quand les deux corps ne feront plus qu’un – RÉSISTONS ENSEMBLE N°171 – mars/avril 2018
Festival intersection à Montreuil, 3/4 mars 2018
Féminisme, sorcellerie et luttes. Rencontre avec le Witch Bloc de Paris
À travers le retour de la figure de la sorcière, c’est une réappropriation des codes oppressifs que l’on observe et avec elle la mise au jour d’un besoin de penser la lutte contre les oppressions à travers le prisme de l’action collective. Discussion sous le signe de la lutte, du collectif et de l’intersectionnalité.
Manifesto XXI – Quand et comment est née la volonté de créer un collectif ?
À l’origine, il s’agissait juste d’un groupe d’ami-e-s militant-e-s, pour certain-e-s déjà engagé-e-s par ailleurs, qui en avaient marre des pratiques virilistes présentes dans les cortèges du black bloc – le fait de ne rien faire pour virer les agresseurs avérés de ces cortèges notamment – et qui suivaient depuis longtemps l’activité des W.I.T.C.H. américaines.
Fin Août 2017, iels se sont dit qu’il était nécessaire qu’un cortège en non mixité soit présent dans en tête de la manif de “rentrée” qui avait lieu le 12 Septembre, contre la loi travail XXL et autres mac(r)onneries vomitives, afin de ré-affirmer notre légitimité dans le black bloc et notre colère en tant que féministes. Nous avons donc décidé de créer un événement Facebook pour appeler à la mobilisation sous la forme d’un witch bloc, suivant l’exemple des américaines. Ça nous a permis de nous rendre compte de qui pourrait être intéressé-e pour défiler avec nous, et d’ailleurs nous étions très loin de nous attendre à un tel succès (1500 personnes intéressé-e-s sur l’événement).
Cette première manif ayant fait beaucoup de bruit, nous avons décidé de réitérer l’opération sur les suivantes, et de créer nos propres pages sur les réseaux sociaux dans le même temps. Nous avons depuis mené de nombreuses actions, ce qui nous amène, après de nombreuses rencontres et réflexions communes, à aujourd’hui. Bien sûr, le collectif a continué à évoluer, que ce soit sur les membres présent-e-s et actif-ve-s ou sur notre façon de fonctionner.
La naissance du Witch Bloc de Paris a donné raison à nos pensées du début : nous avions, et avons toujours, bel et bien besoin d’un espace pour militer collectivement entre féministes radicales, et ce sans présence d’hommes cisgenres, non-concernés par les oppressions du patriarcat. Nous nous sommes rendu-e-s compte que nous étions nombreux-ses à avoir tenté de militer ailleurs, dans d’autres orgas, collectifs et assos, ou alors en autonomie sans que cela ne fonctionne, et le Witch Bloc a répondu à nos besoins.
Quelle filiation avec le W.I.T.C.H. de Portland et a fortiori le Women’s International Terrorist Conspiracy from Hell originel s’il y en a une ?
Les W.I.T.C.H. ont inspiré la création du Witch Bloc Paris. Nous les soutenons totalement et nous nous inspirons de leurs méthodes, en nous référant au site très complet des Witch de Portland notamment, mais nous ne sommes pas en lien avec elleux, chaque groupe étant totalement indépendant des autres.
Quel est votre rapport à l’intersectionnalité ? Comment pensez-vous l’intersectionnalité aujourd’hui ?
Nous nous considérons comme un collectif intersectionnel et nous tentons de l’être le plus possible. À notre niveau, cela veut dire penser les différents axes de lutte comme interconnectés, et donc les prendre en compte selon leurs différents aspects et pas seulement selon la façon dont nos membres les perçoivent ou les vivent individuellement.
L’intersectionnalité ça veut aussi dire que l’on doit parler, discuter, lire et s’écouter.
Parce que chacun-e d’entre nous est particulièrement sensible à certaines oppressions et pas à d’autres, lutter dans un collectif intersectionnel, ça veut donc aussi dire s’entre-écouter pour être capable de lutter avec les autres là où individuellement nous ne sommes pas concerné-e-s, et aussi parler pour être capable d’amener les autres à lutter avec nous là ou iels ne sont pas individuellement concerné-e-s.
C’est enfin un repoussoir pour tout le féminisme blanc et bourgeois qui selon nous gangrène inutilement les débats, les formes de féminisme qui non-seulement ne se concentrent que sur certains sujets qui ne touchent qu’une partie des militant-e-s que nous sommes, mais qui en plus cherchent à affirmer l’existence d’une “expérience féminine universelle”, qui seule déterminerait les enjeux de lutte.
Il n’existe pas “d’expérience féminine universelle”, nous ne sommes d’ailleurs pas toustes des meufs au sein du WB.
Mais cette rhétorique est celle qui a conduit des mouvements féministes à ignorer les luttes de femmes noires, des femmes trans, des femmes lesbiennes, des hommes trans, des personnes handies… Être intersectionnel-le-s, c’est donc aussi une façon pour nous d’affirmer notre opposition à cette forme de féminisme qui ne voudrait défendre que les femmes qui ressemblent à un modèle précis. Nous luttons pour l’abolition du patriarcat pour tous-tes.
Suite de l’article sur son blog de publication: Manifesto XXI
Occupons les maisons, détruisons les prisons ! Manifestation à Montreuil le 16 Février
Retards dans le versement de la bourse étudiante ARPE : merci la « Loi Travail »…
Des milliers d’étudiant.e.s en fin d’étude dépendent de la bourse ARPE, censée être délivrée juste après le diplôme, pour pouvoir vivre entre la fin des études et un premier emploi. Mais 300 000 personnes n’ont pas touché leur bourse ce mois de janvier. Non content d’avoir fait passer en force la Loi Travail et son lot de réformes anti-pauvres, l’État ne daigne même pas se tenir aux quelques mesures compensatoires auxquelles il s’était engagé.

Pendant que les étudiant-e-s et lycéen-ne-s s’organisent un peu partout contre l’augmentation croissante de la précarisation de leurs conditions d’existence, quelques 100 000 à 200 000 diplômé-e-s de fraîche date, ex-boursie-r-es, peinent à vivre avec la bourse d’Aide à la Recherche du Premier Emploi. Les conditions pour obtenir cette prolongation de 4 mois maximum de leur bourse sur critères sociaux sont strictes : il faut avoir obtenu un diplôme depuis moins de 4 mois, ne pas demander le RSA, ne pas travailler à plus de 78% du SMIC net, et avoir moins de 28 ans. Cette aide, accordée pour la « jeunesse » aux orgas étudiantes dans le cadre de la Loi Travail [1], impossible de l’obtenir directement après l’année scolaire (juin, ou septembre). En effet, il faut d’abord attendre l’obtention du diplôme pour faire la demande, et une fois la demande validée, le versement du CROUS.
Or, il faut généralement plusieurs semaines voire plusieurs mois aux administrations pour délivrer leurs attestation de diplômes aux étudiant-e-s, qui ne touchent pas de bourse en été. Pour celles et ceux qui finalisent un Master ou équivalent, et doivent rendre un mémoire, il est risqué de travailler à temps plein ou partiel, au moment même où toute leur attention doit être focalisée sur la réussite de leur diplôme. Pas qu’on soit spécialement favorable au système scolaire et à son fonctionnement actuel, mais force est de constater que celleux qui peuvent se reposer sur une aide familiale pour se concentrer sur leur diplôme ont plus de chance d’arriver à leurs fins [2].
Il faut donc compter environ cinq mois sans revenus avant de voir la couleur de cette aide subsidiaire de quatre mois seulement ! Elle est pourtant censée aider les jeunes diplômé-e-s à trouver un emploi dans de bonnes conditions : autrement dit, leur permettre de rester dans leur logement, et de survivre le temps de trouver un boulot stable, le temps de « se retourner », en gros.
Le fait est que s’il y a bien un moment où il est encore plus dur de travailler pour les étudiant-e-s c’est pendant les périodes d’examens, de rédactions de mémoires et dossiers. Certain-e-s vont donc risquer de rater leur diplôme en travaillant, en prévision du moment où ils n’auront plus de bourse ; quand d’autres ne prendront pas ce risque mais seront sans ressources aucunes dès le mois de juin (c’est-à-dire plusieurs mois avant la fin de leur année scolaire, pour les étudiant-e-s en Master qui souvent rendent leur mémoire en septembre/octobre !). Notons que si le versement de l’ARPE ne survient pas dans la continuité de la bourse scolaire, les étudiant-e-s ne peuvent logiquement pas continuer de payer leurs loyers.
La logique induite par cette bourse est donc de trouver-un-travail-pendant-ses-études-qui-permettra-de-trouver-un-logement-et-de-survivre-en-attendant-de-trouver-un-vrai-travail… En fait, cette aide sociale ne change rien aux galères qu’elle serait censée éviter : échec au diplôme, perte du logement, retour chez les parents, endettement…
Mais en plus d’infliger tant d’embûches à celles et ceux qui comptent sur cette aide, les bourses de 300 000 étudiant-e-s [3] parisien-ne-s n’ont tout bonnement pas été versées par le CROUS depuis le mois de janvier, faute de fonds disponibles.
Généralement versées les deuxième ou troisième semaines du mois, elles n’ont pas été versées ce mois de janvier 2018, et pour l’instant, aucun virement n’est prévu. Depuis la mi-décembre, c’est donc autant d’étudiant-e-s qui doivent être sans ressources à moins qu’ils ou elles travaillent. Un retard qui a du légèrement compliquer le début de l’année de milliers de personnes ; qui n’a pas été annoncé, et en a inquiété plus d’un-e. Au téléphone, on nous explique que les versements devraient avoir lieu en février, mais qu’il n’est pas possible de savoir quand…
Une mesurette de plus pour calmer les esprits qui peine à correspondre à ses effets d’annonce ! Face à l’évidente précarité de cette situation, réclamons le versement des bourses au plus vite ! Déboursez pour les boursiers !!
Une ex-boursière dans la misère
Notes
[1] Comme on peut le lire sur le site étudiant.lefigaro : « La Loi Travail devrait aider ceux qui en ont le plus besoin. L’Aide à la recherche du premier emploi (Arpe) fait partie des mesures en faveur de la jeunesse obtenues par les organisations étudiantes après leur mobilisation contre la Loi travail au cours du mois de mars dernier. Annoncé dès le 11 avril dernier, le dispositif a donc été intégré à la loi travail, qui a finalement été adoptée le mercredi 20 juillet dernier à l’Assemblée nationale. Les diplômés pourront ainsi en bénéficier à partir de la rentrée 2016. »
[2] On sait par ailleurs que bon nombre d’étudiant-e-s n’ont ni aide familiale, ni droit à une bourse…
[3] Chiffre délivré au téléphone à une étudiante bénéficiaire de l’ARPE par deux personnes travaillant au service des bourses du CROUS de Paris.